• "Au cours de mon périple, j'ai vu les horreurs que les humains peuvent s'infliger les uns aux autres mais j'ai également été témoin d'actes de tendresse et de gentillesse, de sacrifices dans les pires circonstances imaginables. Je sais qu'on peut perdre une part de son humanité à tenter de survivre. Mais je sais aussi que l'étincelle de dignité humaine ne s'éteint jamais totalement, et qu'avec une bouffée de liberté et le pouvoir de l'amour, elle peut à nouveau s'embraser. Voici mon histoire, celle des choix que j'ai fait afin de vivre."


    votre commentaire
  • "-Le groupe Shinagawa qui arrive en dernier, bien sûr...

    -J'y peux rien! Ceux qui sont dans mon groupe n'en font qu'à leur tête! A peine arrivés, c'est shopping... photos à gogo... guide touristique de Nara... et drague de ouf!

    -Et Shinagawa s'est fait mâchouiller par des biches.

    -Je suis ravi de voir que vous profiter bien de Nara."


    votre commentaire
  • "Elle ne veut pas me laisser entrer, elle me dit que Simon et elle vont rester encore un peu au lit. Elle va se calmer la bouffeuse de choucroute, tu me laisses voir mon poteau, il a une lettre à donner à Santa Claus."


    votre commentaire
  • "Sincèrement, je pensais que monsieur le Phoenix voudrait plus que quiconque pouvoir voler... Mais vous n'avez pas besoin de penser à tout ça maintenant. Vous êtes venu à moi qui n'ai rien. Vous m'avez fait croire en moi-même. Même si vous êtes petit, même si vous ne pouvez pas voler, pour moi, vous êtes une véritable bête sacrée royale."


    votre commentaire
  • "Tout ce que j'ai fait jusqu'à présent n'est pas lourd de conséquences. Mais si je fais cela, il n'y aura pas de retour en arrière. Si la cargaison n'arrivait pas, la reine rouge envahirait le pays. Kelsea songea à Mhurn, son beau garde blond, et à son récit de la dernière invasion Mort. Il y avait eu des milliers de victimes, et tant de souffrances. Mais ici, juste devant elle, se trouvait une cage construire spécialement pour de petits êtres sans défense, afin de les transporter à des centaines de kilomètres de leur foyer pour mieux les exploiter, les violer, les affamer. Kelsea ferma les yeux et vit sa mère, la femme qu'elle avait imaginée durant toute son enfance en reine blanche sur son blanc destrier. Mais sa vision s'était assombrie. Ceux qui acclamaient la reine étaient de pauvres hères aux traits creusés par les privations. La couronne de fleurs sur sa tête s'était flétrie. La bouche de son cheval était toute pourrie. Quant à la femme... c'était une pauvre chose servile qui rampait dans l'ombre, livide comme un cadavre."


    votre commentaire